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THOMΔ

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Je ne suis que un poète toujours dans la lune pour vous ramener les meilleurs choses. Je cultive la normalitude dans un autre jardin que le miens, ici il y a que originalité et désordres de plantés dans toute mon âme.

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"Je ne suis qu'un libre penseur dans ce monde d'illusion monétaire." THOMΔ
THOMΔ THOMΔ
Articles : 138
Depuis : 08/01/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

L'armes

L'armes

Ne peux-tu pas, être heureux Et non envieux ?
Obscène

Obscène

Dans notre bruyante grotte Sombre et hostile; Où l'on meurt en quelques sortes De coup bas et vile Arme toi de courage Et meurt en silence Pour ne pas perdre ta dignité. Encore une tache; ingrate et sale Qui n'enrichit pas ton esprit. Mais que sommes nous dont devenus? Nous ne sommes que les cloportes Dans se règne animal. Tu n'es pas une machin
La fourmillière humaine

La fourmillière humaine

Dans cet énorme amas de fourmis Où chacun mène ça petite vie Certaines restent sereines, D'autres incertaines; Chacune a un but, Plus ou moins éperdu Dans ce tunnel noir et sombre Où l'on perçoit des ombres. Un petit nombre est en stress De devoir quitter leurs déesses, D'autres sont calmes et disposés A pouvoir continuer de voyager; Il y

Paisible nuit

J'entrevois la pluie qui tombe, Elle est humide et chaude. Elle caresse de ces gouttes Le paysage en construction. Et c'est tout un peuple en ébullition Qui observe ce qu'il en coûte D'éradiquer par fraude La poésie des catacombes. THOM Δ
L'usine asile

L'usine asile

( dédicasse à Assia Ouehbi pour le titre) On entre, on pointe et on en a déjà mare C'est la besogne qui nous est imposée. On est enfermés dans son esprit Pendant 8 heures de turbins; Nous sommes des prisonnier du geste. Bloqués dans ce mouvement repetitif et lourd, La folie s'empare de nous, Elle est soudaine et violente. Un irrésistible be
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Dans nottre bruyante grotte Sombre et hostile Ou l'on meurt en quelques sortes De coups bas et vils Arme toi de courage Et meurt en silence Pour ne pas perdre ta dignité. Encore une tache; ingrate et sale, Qui n'enrichit nullement ton esprit. Mais que sommes nous dont devenus ? Nous sommes que des fourmis Dans se reigne animal. Tu n'es pas une mac
Nouvelle ère

Nouvelle ère

Le pouce levé Vous refusez De m'entendre Je pourrais crier, Bafouer les mots, Les utiliser Et les manipuler. Mais vous refusez D'entendre ma pensée Pour ainsi éviter La si âcre vérité Que je peux expier Refusez de vous faire LOBOTOMISER THOM Δ

Faverges

Cette étendue d'eau Petite par la taille, Profonde par son esprit; Me fait divaguer Dans d'obscure paysage Que mon saoul ne peut profaner. Ce voyage est rempli D'une force inconnue Où les oiseaux gasillent, Où les grenouilles s'envolent, Où les feuilles mortes dégagent un fumet, Où le peu de neige explose de fraicheur, Où l'air pure se dégu