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Jyckie !

Jyckie !

Ecrivain, Académicienne de Provence, Auteur du livre "Le Silence des Maux". Tous mes écrits (Nouvelles, récits, légendes, textes, poèmes...etc.) sont inspirés d'une vérité à flanc de réalité. Sentiments, émotions dans le plus grand resp

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Ma plume d'argent

"Jacqueline Peytavi n'est pas un écrivain de fiction, elle trouve son inspiration dans des faits, des événements vrais, et les raconte. Faire entendre la chanson du vent et les mille palpitations de la nature, c'est l'oeuvre et le talent de notre nouvelliste."
Jyckie ! Jyckie !
Articles : 197
Depuis : 23/02/2007
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

La Douceur du Foyer....

La Douceur du Foyer....

Parmi les reflets d’or des bûches en éveil Les flammes sur le bois s’habillent d’apparence, Un doux crépitement aux éclats de vermeil Caresse d’un baiser les lèvres du silence. Semblables au destin des êtres amoureux Les volutes en feu, sous leur regard de braise, S’enlacent tendrement en ballets gracieux Et semblent, par instant, d
Anniversaire Ma plume d'Argent ( 8 ans déjà )

Anniversaire Ma plume d'Argent ( 8 ans déjà )

Vous n’avez jamais su quels furent mes tourments ; J’ai brodé mes ennuis sur les franges lointaines Abreuvant la tristesse aux perles des fontaines Où scintillent mes pleurs en leurs doux chatoiements. Puis, j’entendis au loin, sous la voûte opaline, Résonner mon prénom à l’abord du chemin L’aède souriait, tel était mon destin : S
Décembre

Décembre

Le manteau de l’hiver brode ses nobles franges Et garnit de satin la lisière des toits. De longs rubans de laine ornent le front des granges Où des larmes de gel scintillent par endroits. Les véloces frimas entonnent la complainte Dans les champs attristés par la morne saison ; Loin des chemins dolents s’intronise la crainte Mais l’éther
La Femme Papillon

La Femme Papillon

Elle a ce doux parfum du baume caressant Et le mauve en ses yeux capture ma pensée ; Dans les bras de la nuit à l’orbe diaprée Le charme et la splendeur épousent le couchant. Puis, liant ses reflets au pourpre du levant Elle embellit mes jours de douceur irisée Eclairant de ses vœux ma propre destinée Où germent en secret les rires d’un
La Belle de Mai

La Belle de Mai

Elle nourrit l’amour de sa veine féconde Par le chant libéré des rameaux en éveil Qui bercent leurs chatons telle une voix sur l’onde A travers les coteaux inondés de soleil. Sous l’empire du monde une aura printanière Dévoile ses ardeurs aux lèvres de velours, Célébrant la splendeur des saisons de lumière Par des rubans tissés su
La Saint Valentin

La Saint Valentin

Je sens battre ton cœur sur mon frêle corsage Quand les pourpres au loin déclinent vers les bois Et mon être enivré par de tendres émois Se nourrit au nectar du délicieux breuvage. Ô, suprêmes instants au miroir de tes yeux ! Leurs reflets de cristal aux divines caresses Bercent mes lendemains d’éternelles promesses Dont les bouquets fl
L'Auguste Triste...

L'Auguste Triste...

Tu fardes ton regard, ta bouche de lumières Et ton bel apparat dissimule les mains, Honorant chaque enfant et leurs beaux lendemains Tel un noble sergent, les ors en boutonnières. S’éloignent les brouillards, frontières esquissées, Vers les ilots lointains, les ailleurs sublimés Où la vague adoucit le sort des opprimés, Entre deux univers
Au coeur de la rose

Au coeur de la rose

Dans le matin fécond empreint de solitude La fraîcheur de la rose anoblit les vergers Et, tel un doux nectar aux arômes légers, Elle offre à nos élans un vent de plénitude. Son cœur s’ouvre à l’amour, embellit la romance D’une lèvre apaisante aux contours de velours, Quand le charme divin d’un éternel toujours Effleure du regard
Sous son aile...

Sous son aile...

Pourquoi chercher ailleurs notre ange et sa lumière Quand la nuit nous étreint de son nimbe sacré ? Il règne à nos côtés une douceur plénière Où les champs de l'éther épousent le nacré... Lors un souffle d'amour traverse nos poitrines Sur des flots de bonheur aux reflets de satin ; Nos rêves, nos élans ne sont que mains divines Qui s
Sur le dos des nuages

Sur le dos des nuages

Les affres du destin inondent la mémoire De nos jours affligés par les sombres matins Que le présent détient tel un triste grimoire Dans la grotte féconde où s’ancrent les chagrins. Doit-on pour apaiser nos mornes inquiétudes Arracher les feuillets du passé qui s’enfuit Si la source détruit les nobles certitudes, Que la raison s’éte